Management & RH

Rapprochement bancaire, un incontournable de la trésorerie

Limiter le risque d’erreurs, analyser les données… c’est tout l’intérêt du rapprochement bancaire, un incontournable de la trésorerie.

Augmenter le taux de rapprochement bancaire de l’ordre de 90 %, voici ce que promettent les meilleures solutions du marché. Idéales pour libérer du temps, limiter le risque d’erreurs, analyser ses données et permettre un meilleur pilotage des process comptables dans son entreprise. Le point complet.

Le rapprochement bancaire, une obligation légale

Le rapprochement bancaire ou reconciliation en anglais, qui consiste à rapprocher les écritures comptables des mouvements bancaires, est un incontournable de la trésorerie d’entreprise. C’est une obligation légale, gage de certification de vos comptes. L’entreprise doit prouver que ce rapprochement a bien été réalisé, en bonne et due forme. Et c’est d’ailleurs ce que permettent de réaliser, automatiquement, les différentes solutions du marché, avec plus ou moins de facilité.

Pour l’entreprise, le rapprochement bancaire permettra surtout d’avoir une vision au plus proche de sa trésorerie, en contrôlant a posteriori les différentes lignes passées dans le livre de banques.

La réduction des erreurs et productivité

Il permettra ainsi de détecter toutes les anomalies : frais surfacturés éventuellement par votre organisme bancaire, écarts de change, mouvements bancaires anormaux, éventuelles opérations frauduleuses, etc. Avec la possibilité d’être alerté dès qu’une anomalie est détectée.

Réalisé en automatique, le rapprochement bancaire optimise significativement le rapprochement des écritures comptables et des mouvements bancaires en s’appuyant sur le paramétrage de critères et de modes de rapprochement de plus en plus fin.

Les meilleures solutions du marché offrent en effet aujourd’hui des taux de rapprochement en automatique qui peuvent aller jusqu’à 90 %, là où la norme se situe plutôt aux environs de 80 %. Le reste demeurant, bien sûr, à effectuer manuellement.

Avec un impact immédiat sur la trésorerie. Le cas par exemple, quand toute l’activité repose sur des encaissements, comme dans le secteur de la téléphonie mobile. Augmenter le taux de réconciliation permet en effet de rapidement contrôler voire même d’anticiper tout écart sur les opérations bancaires.

Un nombre de critères quasi illimités et enchaînement des règles

Pour parvenir à de tels taux de rapprochement, un travail sur les algorithmes a dû être réalisé afin de s’adapter à toutes les configurations, tous les types d’entreprises, tous les secteurs d’activités… Avec un nombre de critères illimités, puisque vous pouvez :

  • créer un groupe de règles et des priorités d’exécution
  • exécuter plusieurs rapprochements en même temps
  • avoir recours à un nombre de critères de rapprochement illimité
  • utiliser des opérateurs de comparaison : » = , >, = , =

Plus il y a de critères en effet, et plus le taux de rapprochement va augmenter, avec la possibilité d’enchaîner les règles. On peut ainsi aller chercher des infos complémentaires pour trouver des écritures, le nom d’un débiteur… Avec un niveau de détail très important : rapprochement ligne à ligne, rapprochement 1 ligne vers plusieurs lignes, rapprochement de plusieurs ligne vers plusieurs lignes.

Faciliter l’expérience utilisateur

Côté comptable, ces solutions cherchent à se rapprocher au plus près de l’expérience utilisateur, avec des tableaux de bord de plus en plus intuitifs, simples à utiliser. Résultat, là où avant le rapprochement était réalisé une fois par mois, on peut très bien imaginer le réaliser tous les jours. Petit plus, ces solutions sont capables, pour les plus avancées, de s’interfacer avec les ERP du marché.

En somme, ces outils de rapprochement ont un rôle crucial à jouer : analyser la trésorerie, réaliser un reporting complet, afin de comprendre, d’améliorer et d’optimiser, le cas échéant, les process comptables.