Croissance & Stratégie clients

« Grâce aux nouvelles technologies, où que je sois j’ai mon bureau avec moi »

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Antoine Pineau est enseigniste. Fondée début 2016, Pixocolor est spécialisée dans la communication d’entreprise, réalisant en particulier des habillages adhésifs signalétiques et événementiels pour des clients professionnels. Soucieux de se simplifier la comptabilité et la gestion commerciale pour mieux se consacrer à ses clients et au développement de son entreprise, le jeune créateur a choisi Sage 50.
Moto-entrepreneur, Antoine Pineau partage sa satisfaction dans un témoignage sur les chapeaux de roue…

Pixocolor, enseigniste jusqu’au-boutiste

Si le cœur de l’activité de Pixocolor est l’habillage adhésif de tout support, la disponibilité, la qualité de conseil et la créativité d’Antoine Pineau le conduisent souvent à aller au-delà pour accompagner ses clients dans la réalisation de tous leurs outils de communication, ajoutant par exemple à la signalétique la papeterie d’entreprise ou la création du site Internet. « Mes clients sont des commerces de proximité, des artisans, des points de vente d’enseignes nationales comme Décathlon. J’ai une relation de confiance avec un franchiseur local qui développe un service de coiffure par abonnement. Pixocolor assure le marquage de l’ensemble des salons du réseau. Et de part mon engagement personnel dans les sports mécaniques, je suis également en relation avec beaucoup de passionnés, en particulier des clients Porsche qui me confient la personnalisation de leur bolide ».
Très proche de ses clients, ne comptant ni ses heures, ni ses efforts et privilégiant l’innovation tant technique que créative, Antoine Pineau a su développer en vingt mois une clientèle fidèle dans la région Aquitaine et même un peu au-delà. « Il y a peu en commun entre un commerçant qui me confie son attractivité et un Décathlon où tout est charté. Je dois m’adapter : certains clients ont besoin de davantage de conseils, d’autres sont intéressés avant tout par la création graphique, d’autres encore se décident en raison de ma réactivité en cas d’incident sur une enseigne ».
Pixocolor est positionné sur un créneau à la frontière entre l’agence de communication et l’imprimeur. « D’un côté, mes clients sont séduits par mon conseil et mes idées graphiques. De l’autre, ils sont rassurés quand ils viennent à l’atelier et qu’ils voient mes machines. Nous travaillons sur trois ou quatre gros projets fil rouge. Le reste, c’est de la réactivité : un agent immobilier qui a besoin d’un panneau pour un bien qu’il vient de rentrer, une entreprise qui veut voir son nouveau véhicule de société marqué sans délai avant de le confier à un collaborateur… »

Antoine Pineau, entrepreneur et passionné

Designer de formation, Antoine Pineau était auparavant responsable d’une agence de publicité bordelaise, filiale d’un groupe international. « En créant ma propre entreprise, j’ai acquis le droit d’explorer de nouveaux chemins ». Ce n’est pas un détail pour ce pratiquant passionné de sports mécaniques.
Antoine partage son temps entre la production à l’atelier, la relation chez ses clients et le suivi des chantiers de pose.
« Je suis capable de tout faire mais j’externalise parfois la pose, pour mieux me concentrer sur la création et la production. Ce qui m’importe dans la vie, c’est de pouvoir choisir ce que j’ai fait. Pouvoir dire non. Être conseil, apporter de la valeur aux projets de mes clients ».
Le moteur d’Antoine, c’est la liberté. « Je me lève le matin pour vivre des journées toutes différentes. J’aime les défis et les missions qui sortent de l’ordinaire. Par exemple, Pixocolor a réalisé pour Décathlon un calendrier de l’Avent géant ».
Dans un autre registre, après les véhicules professionnels et les véhicules de course, Antoine Pineau a commencé à prospecter le marché des navires de plaisance. « J’ai l’intuition, alors que nous sommes à moins d’une heure d’Arcachon, que l’adhésif peut dans certains cas proposer une alternative crédible à la peinture. J’ai commencé à prospecter et un premier client m’a fait confiance. Si le test est concluant, j’espère pouvoir développer rapidement ce créneau. On ne le sait pas assez mais l’adhésif est un revêtement très performant ».
Par atavisme, peut-être, par conviction, sûrement, Antoine Pineau est un entrepreneur dans l’âme.

« Pour moi, entrepreneuriat, c’est la normalité. J’aime que le succès dépende de moi. Je suis persuadé que rien ne s’oppose à la progression si on est disponible, à l’écoute, réactif et engagé. Pour autant, mon rêve n’est pas d’avoir une boîte de cinquante personnes ! Je veux garder mon métier, je veux toucher les adhésifs. Et surtout être maître de mon temps. À 50 ans (Antoine Pineau a 32 ans), je veux pouvoir être le mardi sur un lac et le mercredi matin sur un chantier ! »

Le digital, une question de performance

Pour Antoine Pineau et Pixocolor, le digital est un mode de fonctionnement intégré. D’une part, la conception et la production sont numérisées à 100%. « Le plus gros de la conception se fait sous Illustrator. Et après validation par mon client, les données sont transférées à la machine concernée pour produire le support souhaité. La chaîne est continue, y compris d’ailleurs pour le circuit de validation, le plus souvent sous forme d’échanges par courriels ».
D’autre part, le digital est aussi un support marketing privilégié pour l’enseigniste.

« J’ai un certain nombre de clients qui m’ont suivi mais pour me développer, je me dois d’avoir un site Internet attractif et être visible sur les réseaux sociaux. Nous sommes présents sur Instagram depuis quelques mois. Mon book digital aide les prospects à se décider en connaissance de cause. Et bien sûr, je poste les créations les plus spectaculaires pour entretenir l’attention autour de mon travail ».

Sage 50, pour mieux dormir la nuit

Antoine Pineau a lancé Pixocolor avec deux anciennes versions de Ciel Compta et Ciel Gestion Commerciale. Mais très vite, le besoin de monter en capacité s’est fait sentir. Quand Sage lui a proposé de migrer vers Sage 50, Antoine a étudié l’idée et s’est vite décidé.

« C’est l’idée de pouvoir externaliser mes données qui m’a convaincu. Je dors mieux la nuit ! Ensuite, je dois dire que la compta, ça ne m’intéresse pas plus que ça. Du coup, disposer d’une application plus intuitive et plus efficace m’a évidemment motivé ».

Toujours en mouvement, Antoine est également séduit par les perspectives ouvertes par Sage 50 et le Cloud.

« J’aime bien l’idée d’accéder depuis ma tablette, par exemple pour consulter un encours client avant un rendez-vous. L’accès à distance est aussi un accès partagé. Ma mère qui me donne un coup de main en compta peut désormais intervenir depuis chez elle. Et quand je clôturerai, je passerai également la main à distance à mon expert comptable ».

Le Cloud facilite également l’interface avec d’autres applications.

« J’étudie la possibilité de scanner mes notes de frais avec mon téléphone pour intégrer directement les données dans Sage 50 ».

Point capital pour une TPE, la migration d’un système à l’autre s’est faite sans aucun souci.

« Le vendredi, j’étais encore sur mes deux logiciels Ciel et le lundi, accompagné par l’assistance en ligne qui a pris la main sur mon poste, j’avais tout migré sur Sage 50 ».

Trois mois plus tard, Sage 50 comme une évidence

La fidélité à Sage a déterminé la bienveillance de l’écoute initiale. « J’ai l’image d’un partenaire solide. C’est important car toute la vie de Pixocolor est sur leurs serveurs ! Et je sais aussi que malgré son statut de multinationale, Sage est une entreprise à visage humain qui s’engage concrètement auprès de ses collaborateurs et dans des actions sociétales ».
Mais Antoine Pineau est aussi un patron avisé.
« Je suis allé au plus vite avec Sage 50, qui cochait toutes les cases. Mais si je n’avais pas eu le sentiment que ça m’apporterait, je ne l’aurais pas fait. Ma mère, qui gère les boulangeries familiales sur Cegid, poussait plutôt en ce sens. Mais ça m’a semblé trop compliqué ».
Le bénéfice du changement est aujourd’hui mesurable, et Antoine apprécie au quotidien la puissance de son nouvel assistant.

« Je vais plus vite. Et pas seulement parce que j’ai remplacé deux logiciels par un seul. Je suis rassuré par le fait que la conformité avec la réglementation en vigueur est induite dans le concept de SaaS. D’un point de vue pratique, j’ai aussi simplifié la collaboration avec ma mère, qui devait avant se déplacer à l’atelier pour accéder à la comptabilité. Enfin, et c’est tout de même le plus important, j’ai gagné en fonctionnalités. Par exemple, je peux désormais visualiser de manière très claire le poids de chacun de mes clients dans mon chiffre d’affaires. Utile pour investir mon temps à bon escient ».

Sage 50, une affaire qui roule ?

« Avec le recul, je dirais qu’il est stratégique de partir directement sur de bonnes bases quand on crée une entreprise avec un peu plus d’ambition que d’être auto-entrepreneur. Sage 50 présente un rapport prix bénéfice avec une simplicité, une sécurité et une efficacité dont se passer relève du contresens ! »