Le Groupe Figaro est particulièrement diversifié, avec une vingtaine de filiales opérationnelles. La centralisation des opérations de trésorerie et du suivi des comptes bancaires est assurée via Sage XRT. Une montée en version vers Sage XRT Solutions exploité dans le Cloud est à l’ordre du jour.
Retour d’expérience avec Sylvain Dias, Responsable Trésorerie Groupe Figaro.
Le Groupe Figaro : une pluralité d’activités
Du chemin a été parcouru depuis 1826 et la création de l’hebdomadaire satirique Le Figaro. Le groupe fait aujourd’hui un chiffre d’affaires de 500 millions d’euros et qui réunit une vingtaine de filiales autour de son quotidien vedette.
Sylvain Dias est le Responsable Trésorerie du Groupe Figaro. « Au journal que tout le monde connaît s’ajoutent des activités éditoriales, comme Journal des Femmes ou L’Internaute, des agences de voyages sur-mesure ou encore des sociétés de ticketing, comme Ticketac. La diversification est clé pour mutualiser des services et assurer l’assise financière ».
Centralisation du cash
Avec un groupe aussi diversifié, le premier enjeu mis en avant par Sylvain Dias est sans surprise la centralisation du cash.
« Nous pilotons à travers notre solution Sage XRT une plateforme de regroupement de nos comptes bancaires. Nous embarquons ainsi tous nos comptes et disposons d’un solde bancaire unique pour l’ensemble du groupe. Et nous centralisons grâce à Sage les relevés bancaires également ».
Le Groupe Figaro est un client historique de Sage XRT. « Pour ma part, cela doit faire sept ou huit ans que j’utilise la solution. J’apprécie de constater que Sage y met les moyens, et de plus en plus, en termes de relations clients et de qualité produit », ajoute Sylvain Dias.
Le Groupe Figaro optimise son reporting
Le Groupe Figaro s’appuie sur une version ancienne de Sage XRT. Sylvain Dias travaille sur l’hypothèse d’une montée de version. « Il nous manque aujourd’hui des fonctions de reporting plus pertinentes et plus instantanées. C’est cela que nous allons d’abord chercher à travers une migration ». L’intégration du module Anti-Fraude serait une deuxième raison de monter en version.
La localisation, On-Premise ou SaaS, fait partie du questionnement en cours. « Ce qui pourrait nous faire basculer dans le Cloud, c’est peut-être l’intégration de tous les modules dans une même plateforme. Là où aujourd’hui, nous sommes un peu éparpillés sur trois ou quatre systèmes ».
L’IA by Sage pour le groupe Figaro ?
Sylvain Dias, rencontré au cours du Club Clients Sage XRT, poursuit. « Dans l’intelligence artificielle, je retiens qu’il y a beaucoup de chantiers en cours chez Sage. Et cela nous intéresse d’autant plus que nous gérons les excédents de trésorerie de façon autonome. C’est-à-dire que nous ne nous aidons pas d’un outil externe ».
Concrètement, que pourrait apporter l’intelligence artificielle ? « À ce que j’ai pu voir, l’IA pourrait nous aider à affiner la construction de notre plan de trésorerie, par exemple en intégrant mieux les habitudes des utilisateurs. Du coup, basculer vers la dernière version de Sage XRT Solutions et profiter de l’IA by Sage prend encore plus de sens. Cela nous éviterait comme aujourd’hui de devoir analyser manuellement des milliers de fichiers Excel®. Nous y gagnerions du temps mais aussi de la pertinence de prise de décisions ».
Le groupe attend de cette double migration une totale convergence des flux et une meilleure sécurité. En particulier, le module Anti-Fraude est mis en avant par le trésorier. L’intégration de fonctions boostées à l’intelligence artificielle dans la dernière version de la solution donne aussi du sens au projet.
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