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Diocare, adepte de la fiabilité extrême

Diocare

Diocare est une jeune société dédiée au nettoyage extrême. Ce type d’intervention s’impose quand le nettoyage professionnel est mis au défi de situations complexes, où la remise en état des locaux demande une approche renforcée sur le plan technique et même psychologique.

Diocare a opté pour Sage 50, dont son fondateur apprécie la robustesse autant que la simplicité. La comptable travaille à distance sur la solution, comme le plus souvent son patron, qui y accède depuis son téléphone.

Au sommaire de cet article :

Des protocoles très stricts, à la mesure de la dimension sociale des missions

Diocare : le nettoyage extrême, réponse à l’insalubrité des logements

Le nettoyage extrême est un segment des services de propreté qui correspond à des contextes extrêmes. Thomas Poilevet est le Président et fondateur de Diocare.

Il explique : « Nos missions visent globalement à rendre un espace à sa destination première, perturbée par un mésusage ou une pollution extérieure. C’est-à-dire que nous intervenons pour désencombrer, désinfecter ou dératiser des locaux, après par exemple des travaux, un squat, un décès ou une inondation ».

Parmi les situations conduisant à un besoin de nettoyage extrême, il est un cas particulier dont Diocare s’est fait la spécialité : la syllogomanie. La syllogomanie consiste à accumuler des objets, des livres ou des souvenirs au-delà du raisonnable, en tout cas dans des quantités non compatibles avec les capacités d’accueil du logement.

« Nous intervenons généralement à la demande d’un tiers, quand les conditions de sécurité ne sont plus réunies pour la personne vivant dans le logement ». Le syndrome de Diogène est une variante de la syllogomanie, qui consiste à tout conserver. Il s’agit d’une pathologie plus lourde, qui finit par être préjudiciable à l’hygiène du logement.

Une approche à la fois technique et sociale

Thomas Poilevet poursuit la présentation : « Nos interlocuteurs sont des bailleurs sociaux et privés, des familles, des collectivités locales, des services de l’État et des assistantes sociales »

Pour le syndrome de Diogène, Diocare est partenaire d’une association, Survivre à l’insécurité, qui accompagne les personnes touchées par la maladie. La convention qui lie l’entreprise à l’association s’appuie sur une totale coopération, qui implique par exemple la présence quasi quotidienne d’un dirigeant de Survivre à l’insécurité aux côtés de Diocare pendant les interventions.  

L’entreprise effectue l’enlèvement des objets, le nettoyage des espaces et si nécessaire la remise en état des locaux. « Notre rayon d’action habituel, c’est l’Île-de-France. Nous avons parfois des missions en régions dans le cadre de notre partenariat avec l’association Survivre à l’insécurité ».   

Le savoir-faire unique de Diocare pour des interventions hors normes

Une mission de Diocare dure en général entre une et deux semaines. « Nous appliquons un protocole d’intervention strict, à la fois pour protéger nos équipes et pour préserver la dignité des personnes », raconte Thomas Poilevet. En effet, les équipes d’intervention sont protégées par des combinaisons de catégorie 3 et des masques à cartouche.

La prise en charge de la dimension sociale des missions induit un respect absolu de situations d’extrême détresse psychologique et de total abandon.

« Pour conserver une forme de confidentialité à nos interventions, nous employons des sacs en plastique opaques, que nous faisons fabriquer spécialement, qui sont chargés dans un fourgon banalisé. Nous avons parfois à manipuler des archives personnelles, des moyens de paiement, des papiers importants. Ce qui suppose une approche méthodique et respectueuse des secrets et des biens des personnes. Les objets accumulés sont désinfectés et restitués à leur propriétaire, sous la supervision de l’association », conclut Thomas Poilevet.  

Le Cloud, garantie de sécurité pour la sauvegarde des données de Diocare

L’internalisation de la comptabilité pour maîtriser ses données

Si un cabinet comptable a accompagné l’entreprise à ses tout débuts, Thomas Poilevet, a rapidement choisi de rapatrier sa gestion quotidienne.

En quête d’une solution de comptabilité, il est arrivé à Sage 50 après une recherche en ligne. « J’ai présélectionné Sage 50 parce que je souhaitais m’équiper d’une solution fiable et reconnue par les services de l’État. La dimension mobile de Sage 50 a fait aussi pencher la balance du côté de Sage ».

Thomas a profité de l’essai gratuit de 30 jours. « N’étant pas comptable de formation, je dois dire que j’ai commencé par être rebuté en prenant la mesure de l’exigence de la tâche. Mais je me suis accroché, bien aidé par le caractère intuitif et cadrant de la solution. J’ai été conforté à l’usage dans mon choix initial ».

Avec Sage 50 dans le Cloud, il se sent en sécurité pour la sauvegarde de ses données. « J’ai pleinement mesuré l’intérêt de la protection numérique de mes archives au moment d’un incendie dans mes locaux. Ça va très vite et il est difficile de sauver des documents papiers, par définition lourds et inflammables », précise encore Thomas Poilevet.

Sage 50, la gestion facile au quotidien

Avec le développement de son entreprise, Thomas Poilevet a choisi de confier la tenue des comptes à une sous-traitante. Mais sans pour autant renoncer à sa solution Sage 50. « J’ai souhaité conserver la solution pour que les fichiers restent chez Diocare. Ma comptable a l’accès et vient travailler dans Sage 50 ».

Aux yeux du fondateur de Diocare, un gros point fort de Sage 50 est la capacité du logiciel à importer des données Excel®. « Cela me permet de faire ma saisie de factures d’achats sur tableur et de transmettre les lignes à ma comptable, qui les intègre dans la solution ».

Autre facilité appréciée de Thomas Poilevet, la saisie de ses notes de frais directement sur son téléphone. « Je saisis directement mes frais dans la solution à l’aide d’une interface dédiée. Avec la 5G, ils sont enregistrés en clin d’œil ».

Sage, partenaire en veille réglementaire

Thomas Poilevet tient à ajouter un dernier point : « En tant qu’éditeur, Sage joue pleinement son rôle auprès des TPE et anticipe les évolutions réglementaires qui demandent une adaptation des pratiques comptables. C’est pourquoi Sage 50 est toujours à jour des changements comptables et fiscaux ».

En conclusion, l’internalisation de la gestion de l’entreprise à l’aide de Sage 50 donne une liberté de manœuvre au jeune créateur de Diocare.

Une mission confiée à Diocare exige :

  • Une grande technicité,
  • Une certaine subtilité dans le traitement des aspects humains,
  • Surtout, une totale disponibilité sur une période de plusieurs semaines.

C’est pourquoi l’accessibilité 24/24 des données de gestion et la possibilité d’effectuer des opérations au fil de l’eau constituent un atout dans la vie de l’entrepreneur. Il peut ainsi être totalement concentré sur le cœur de sa mission et ne jamais se laisser déborder par les impératifs du pilotage de son entreprise.  

Une solution de gestion exploitée dans le Cloud apporte aux organisations un surcroît de mobilité, de sécurité et d’ouverture. D’autres articles de Sage Advice proposent des contenus dédiés à la gestion des petites entreprises :